02/06/2004 – Naly Gérard
« Les formes brèves réservaient de belles surprises : (…) la clown Dorothée Saysombat et ses petits essais saugrenus et brèves tentatives de raconter quelques choses. A partir de presque rien, elle installe un personnage cocasse et touchant, qui s’applique à donner un show minimaliste avec quelques cartes postales sur fond de musiquettes kitsch. »
07/06/2004
« (…) On ne saurait que trop conseiller d’aller faire un tour aux Scènes Ouvertes à l’Insolite, foisonnant festival organisé par le Théâtre de la Marionnette à Paris dans les murs du Théâtre de la Cité Internationale(…) A voir, absolument: La chambre 26 de Dorothée Saysombat, comédienne passée par le Turak Theâtre.(…) »
02/2011 -THIERRY VOISIN
« TTT – : « La chambre 26 et Ma foi » en version Dipytque »
Deux solos de théâtre d’objets, inventifs et singuliers, par la discrète mais néanmoins farfelue Dorothée Saysombat. Et faits avec presque rien : peu de mots, quelques mimiques, des cartes postales pour « La Chambre 26 » ou des bondieuseries pas très catholiques pour « Ma foi ». Dans le premier, elle réveille une vie abandonnée au fond d’un tiroir. Dans le second, plus facétieux, elle reformule l’intrigue du « Concile d’amour », d’Oskar Panizza, transformant la tragédie céleste en un cours de catéchisme sexuel sur les MST. Le diable inventa la syphilis, Dieu, la pénitence, et Dorothée, fille improbable de Tex Avery et de sœur Sourire, l’indulgence par le rire. Irrévérencieux certes, mais délicieusement chaste ! »
26/03/2005
« Un étonnant théâtre d’objets. C’est un spectacle insolite, drôle et touchant qu’a proposé la compagnie à d’Angers avec « la chambre 26 », rencontre du théâtre d’objets et du clown. (…) Une belle performance pour Dorothée Saysombat, saluée ainsi par une spectatrice : C’est vraiment étonnant de faire ainsi battre le cœur des cartes postales. »
30/03/2005 – Le Pays d’Auray
« La chambre 26 est une idée originale valsant entre le théâtre d’objets et le clown, c’est du théâtre de proximité et c’est novateur. »
4/08/2005
« (…) En bref : visuel, drôle, inventif, intrigant et facétieux ce petit bijou de 20 minutes ravira les fest valiers de Mimos. (…) Arrêtez-vous et laissez-vous entraîner dans l’univers décalé de la compagnie à »
(logo Double) 2008– Allemagne -magazine n°3 -Mascha Erbelding
1ère de couverture du magazine de théâtre Allemand « Double »
Article complet en langue allemande disponible sur demande.
«La Chambre 26 (…) pourrait faire un jour partie de l’Anthologie du théâtre d’objets. Presque sans aucun mot, l’histoire d’une vie est racontée (…) A voir (…) avec quelle fraîcheur et quelle vivacité Dorothée Saysombat tire des histoires de ses cartes postales »
16/02/ 2011 – Bangkok -Thaîlande
Tuk-Tuk takes théâtre to the masses
The tuk-tuk seat is being removed and a collapsible stage installed in its place. Dorothee Saysombat, crouched inside the vehicle, waves her hand in the air. « We’ll put a curtain on this side and this side, » the Franco-Laotian artist explains, « and the audience will watch from over there. » She points towards the back, and we imagine a crowd of onlookers peering in at this ad hoc stage.
The puppet mistress grins. « It’ll be an experiment for us as well. » It will be, because Dorothee usually puts on her object theatre – puppet-based performances which also make use of everyday objects – in an enclosed space: small, personal, with easy-to-control light and sound systems and a limited number of spectators, often no more than 50 and sometimes as few as 15.
21/02/2011 – Bangkok -Thaîlande
« Tuk Tuk 26 » est une version thaïe de « La chambre 26 », spectacle minimaliste qui enfile comme des perles des « petits essais saugrenus » mis en scène et interprétés par Dorothée Saysombat avec quelques cartes postales et un jeu de scène ravissant. Alors que les représentations se déroulaient jusque là depuis une caravane, les artistes ont accepté de jouer, spécialement pour La Fête, dans un véritable Tuk-Tuk conduit par un chauffeur authentique embauché par l’Alliance Française. La troupe s’est ainsi déplacée les 18 et 19 février derniers avec son théâtre à trois roues sur plusieurs lieux de Bangkok tels que la gare de Hua Lamphong, le Bangkok art & Culture Centre ou encore les parcs Souan Rot Fai (ou Railway park) et Lumpini.
10/03/2011 – MANILLE, PHILIPPINES – SAM L. MARCELO,
Keepsakes come to life – POSTCARDS INSIDE a memory box tell their stories in Room 26, a contemporary puppetry performance by Dorothee Saysombat of iment for us as well. » Bangkok Post – 16 février 2011
Ms. Saysombat founded Compagnie a with Nicolas Alline in 2003, wishing to explore « the relationship between the actor, handled objects, the public, and sound and space. » The French modern circus company uses found objects, as well as clowns, puppets, film and other « small forms. »Asked to explain « small forms » further, Ms. Saysombat replied that the term referred to intimacy. « We prefer to have a sensitive and subtle relationship with the audience. We want to have a complicit and convivial exchange with them, to be in proximity with them. »Room 26, for example, runs for 25 to 40 minutes inside an intimate space. The performance, which began as an experiment, takes its name from a room in an old rest house where Ms. Saysombat developed her idea. « It is a short play, like a short film, with little things that will make the audience come closer to us. »Instead of using traditional puppets (string puppets and shadows, for example), Room 26 uses « new language, » form and style invented by Compagnie a. Through words, landscapes and music, Ms. Saysombat exposes the loneliness of locked-up postcards. »We are autodidacts and searchers from today. We discover what we can show and tell by manipulating objects, » said Ms. Saysombat. « We don’t like having rules; it makes no sense for us. »To be a good puppeteer, she added, means being a good actor. « You have to observe the movements and physical logic of human beings. » Unlike actors, however, puppeteers can tell any story on any subject without restrictions..
« Objects and puppets can do things that an actor cannot do, » Ms. Saysombat explained. « Modern puppetry is a poetic language that permits different levels of reading the story. There are many possibilities, many different relations. It’s a huge and very interesting playground to explore. Puppetry opens a door and permits the puppeteer to go where he couldn’t go as an actor. »